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MessageSujet: Luca De Santis ~Premier Lieutenant ~ROME Luca De Santis ~Premier Lieutenant ~ROME  EmptyVen 30 Déc - 0:55
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Luca De Santis
ft. Alex Pettyfer

Âge : 28 ans
Statut sanguin : Pur pour ce que j'en ai à foutre...
Situation conjugale : Célibataire mais mon coeur semble plus pris que je ne l'aurais cru...
Métier/études : lieutenant de la résistance à Rome
Entité abritée : Aucune
Pouvoir(s) : Occlumens && Legilimens
Arme(s) : Ma baguette, mon Berreta 92FS et ma cervelle !
Aptitude(s) spéciale(s) : Roi de l'évasion je suis aussi le meilleur en matière de potions
Signes distinctifs : Une croix tatouée sur le torse et  bien d'autres tatouages ici et là. Vous voulez voir ?
Caractère

Egoïste mais je me soigne ~ Fougueux ~ Désinvolte ~ Moqueur ~ Taquin ~ Loyal ~ Passionné ~ Parfois un peu trop impulsif ? ~ Je peux très vite devenir violent et je ne m'en cache même pas ~ Mondain ~ Sociable mais ce n'est qu'apparences et je déconseille à quiconque de se mêler d'un peu trop près de ma vie privée ~ Protecteur ~ Amical ~ Rusé ~ Entier soit j'adore soit je déteste et  j'ignore jusqu'au sens du mot « mesure » ~ Borné

La Guerre & Moi

Je me contrefoutais pas mal de la guerre. Mais alors à un point que vous n'imaginez même pas ! J'avais beau être un sorcier au sang pur, lire dans les journaux et entendre dans les médias toutes les horreurs commises par l'Ordre je n'en avais rien, mais alors rien, à foutre ! On est égoïste ou on ne l'est pas ! Mais pour une enfant paumée je découvris l'enfer des Ruches et déjà germait en moi la graine de la révolte. Et quand celle-ci finit par exploser bien plus qu'éclore c'est à corps perdu que je me jetais dans la guerre. J'aime pas ça. J'ai beau me montrer le plus redoutable et implacable des soldats je n'aime toujours pas ça. Et si je donne la mort, sans jamais trembler, je n'en tire pas le moindre plaisir. Mais c'est mon devoir plus encore que mon job. Et puisque la plupart des êtres sont trop lâches pour se salir les mains il faut bien que d'autres s'y collent ! Ce n'est pas en pleurnichant ou en braillant que l'Ordre s'effondrera ! Cette putain de mécanique doit être démolie. Ceux qui la servent anéantis. C'est tout ce  que j'ai besoin de savoir. Après les moyens ne regardent que ceux qui y laissent leurs forces et finiront sans doutes un jour par en crever. Mais comme on ne fait pas d'omelette sans casser des œufs on ne fait pas la guerre sans tuer. Sinon autant aller mater l'intégrale des Bisounours bordel ! En tous cas moi j'en suis pas un ! Ou armé d'une baguette et d'un flingue ? Qui sait ? La guerre, cette pute, a un don inné pour faire ressortir le pire comme le meilleur de ceux qui succombent à ses charmes mortels. Est-ce qu'elle fera de  moi un monstre ou un ange ? J'en sais foutre rien et je m'en fous toujours autant. Tant qu'à la fin je puis lui loger une balle en pleine gueule à celle-là aussi, moi ça me va ! Ca vous convient comme réponse ?


Mon Histoire


Je suis de ces rares hommes que la guerre elle-même n'aurait pu atteindre si je n'étais, si volontairement, venu à elle. Je suis le fruit, honteux à ce qu'il s'en dit, de ce couple de sorciers au sang pur dont la richesse n'avait jamais d'égale que la crasse traîtrise. Né à Milan je ne savais pas encore marcher que je suivis mes parents à Rome où ces cons ne trouvèrent rien de mieux que de pactiser avec l'Ordre pour protéger leurs minables petites affaires. Et si la Couveuse et l'Académie me furent épargnées je n'en usais pas moins mes fonds de caleçon dans ces réceptions aussi mondaines qu'abjectes où mes géniteurs avaient plaisir à m'exhiber. Je crois qu'ils espéraient, sincèrement et c'est bien ça le pire, que le sale petit con que j'étais finirais par plier l'échine, rentrer dans le rang et embrasser une carrière qui me permettrait de luire au firmament de cet Ordre dont je me fichais éperdument. Mais que, à l'époque, je n'entendais pas pour autant combattre. Pourquoi l'aurais-je fait ? J'étais tranquille moi ! Je pouvais jouir de tous les plaisirs de la vie, me promener baguette en main sans jamais être inquiété... l'argent de mes parents suffisant largement à corrompre ces si pieux miliciens et hauts dignitaires. Tous pourris, tous minables, mais moi en attendant je vivais à fond la caisse et cela me suffisait amplement.

Une adolescence passée dans un luxueux, et ennuyeux, pensionnat italien. Des premiers pas d'adulte avec des billets plein les poches, des fringues faites sur mesure par les plus grands couturiers de la planète et à mon bras les plus belles des greluches du coin. Une vie de faste et de plaisirs égoïstes où la guerre se résumait à ces quelques lignes que je consentais à lire le matin en dégustant mon café latte et mes croissants. Mais tout changea ce jour où je la rencontrais, elle. Une gamine crasseuse que je me surpris moi-même à sauver de ces miliciens qui visiblement ne lui voulaient pas que du bien. Putain, mais c'était qu'une enfant ! Pour la première fois de ma vie, je fus arrêté et même mes parents ne purent m'empêcher de finir à la Ruche. Interrogatoires plus que musclés, divines séances de tortures et autres piteuses tentatives de conditionnement, j'eus le doit à un aperçu très net de leur carte des délices ! Ah non... je m'échappais de justesse avant que de tester leurs si pointues méthodes d'exorcisme ! Et comme les miliciens sont, par définition, des cons qui n'apprennent jamais de leurs  erreurs chacune de nos retrouvailles se finit  très précisément ainsi : ils essayèrent de me briser, je leur résistais et finissais par me faire la malle. Embarquant avec moi tous les prisonniers que je pouvais.

Honnêtement je n'ai rien d'un putain de héro et si je devais choisir entre ma gueule et celle d'un autre je n'hésiterais jamais plus d'un quart de seconde avant que de sacrifier l'autre. Mais je ne suis pas non plus un monstre. Disons qu'à cause de Devon je ne le suis plus et que, même si vous pouvez courir avant que je l'admette, j'ai appris à m'ouvrir au monde et, surtout, à l'horreur de la guerre. Mais je ne pensais pas que  j'en arriverais, un jour, à rejoindre la Résistance pour autant ! Plusieurs fois j'avais été contacté par certains de ses membres, ma capacité à échapper aux Ruches faisant à priori de moi une recrue de choix. Mais je déclinais toujours la suicidaire invitation : pas pour moi ! Et je ne pensais pas revenir un jour sur ma décision. Mais mes parents, voyant d'un très mauvais œil cette tendresse, pourtant innocente, qui me reliait à ma petite sauvageonne préférée, commirent l'irréparable. Pour eux elle était cette ado recherchée qui mettait en danger leur si minable tranquillité ! Pour eux elle était  cette menace... dont ils se débarrassèrent en la vendant à l'Ordre. Ils vendirent Devon ! Je ne leur pardonnais jamais. Pire, le jour où j'appris que ma petite protégée avait été vendue comme esclave je pétais les plombs et commis moi aussi l'irréparable. Je tuais mes parents. Sans même trembler. Et sans jamais le regretter. Surtout lorsque je découvris à quel point ils pouvaient le mériter. Des putains d'espions à la solde de l'Ordre qui vendaient leurs frères et sœurs sorciers pour du pognon ? Si je le pouvais je les tuerais à nouveau !

Désormais recherché pour un double meurtre, commença pour moi une longue et douloureuse descente aux Enfers. D'errances en errances je finis par rencontrer celle qui me sauva non seulement la peau mais donna un sens à ma vie : Tosca. C'est elle qui m'abrita, me remit sur pieds et finalement m'introduit à cette résistance où je ne fus, au départ, pas le bienvenu. Je les avais trop souvent snobés et rejetés pour qu'ils m'accueillent à bras ouverts. Rien à foutre ! Et je subis chacun de  leurs tests, chacune de leurs  épreuves sans jamais me plaindre ni broncher. Parce que je savais que, un jour, je finirais par les convaincre de mes capacités et de ma valeur. Et si Matteo hésita longtemps ce fut l'appui de mon amie Tosca, mais plus encore de Roméo, qui me valurent d'en finir avec ma période d'essai. Le fils de Matteo finissant même par faire  de moi l'un de ses tous premiers et plus proches lieutenants. L'un des plus loyaux aussi ! Moi l'ancien égocentrique je donnerais ma vie pour lui et pour tous ces résistants devenus ma famille. Moi, l'ancien petit con j'ai enfin trouvé ma place. Et, dans cette guerre qui ne fait que vraiment commencer je sais quel est mon but : détruire l'Ordre ! Et, je ne le nie pas : retrouver Devon.

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MessageSujet: Re: Luca De Santis ~Premier Lieutenant ~ROME Luca De Santis ~Premier Lieutenant ~ROME  EmptyVen 30 Déc - 0:57
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Devon




Si j'étais cynique je dirais que le jour où je décidais de venir en aide à la gamine qu'elle était j'aurais mieux fait de me fracasser les deux jambes... et même les deux bras ! Devon c'est le pire des nids à emmerdes ! Elle n'avait pas dix ans qu'elle me valut mon premier séjour à la Ruche. Elle en avait quatorze quand elle m'amena à trucider mes parents. C'est parce qu'elle m'avait été arrachée, ma petite protégée, que je sombrais dans l'alcool et les drogues. Et, aujourd'hui, bien que je tuerais quiconque oserait me le dire en face, c'est aussi pour elle que je me bats au sein de la Résistance. Et comble de l'ironie, je l'ai même pas sautée, elle ! Enfin... si cela devait arriver un jour, et je peux pas nier que cela me plairait, je ne la sauterais pas. Devon, ce serait peut-être bien la première à qui je ferais vraiment l'amour. Oui, bon ça va ! Je suis amoureux... on peut passer à autre chose ? Parce que si je me suis un temps moqué de Roméo pour s'être laissé prendre dans les filets d'une petite princesse de l'Ordre je fais pas mieux. Devon a été torturée, conditionnée et est devenue cette esclave dont l'Ordre n'a rien trouvé de mieux que de faire l'un de ses bras armés. Et un bon bordel... Et comme retrouvailles j'imaginais mieux qu'un affrontement sur un champs de batailles pendant une mission hein ! Sans compter que mon corps se souvient encore douloureusement des blessures qu'elle m'infligea sans même hésiter pendant plus d'une poignée de secondes. Mais ces secondes veulent tout dire pour moi. Elle a hésité ! Elle m'a même épargné... Et dans ses yeux j'ai vu qu'elle ne m'avait pas autant oublié qu'elle veut bien le prétendre. On peut bien me prendre pour un con aveugle je sais que c'est elle qui m'envoie toutes ces informations si utiles pour notre réseau. Devon n'est pas ce monstre que Neil semble tant vouloir faire d'elle ! Elle ne l'a jamais été et je ne permettrais jamais qu'elle le devienne! Et, oui, je suis prêt à tout pour la sortir de cet enfer dans lequel l'Ordre l'a trop bien plongée. Et bon courage à qui tenterait de m'en empêcher ou même de m'en dissuader...  



Roméo Rookwood



Lui et moi nous ressemblions sans doutes bien trop pour pouvoir, d'emblée, nous entendre. Roméo et moi c'est un peu comme mettre face à face deux paons enfarinés et imbus de leurs petites personnes : ça ne pouvait tourner qu'au plus parfait des pugilats ! Et si Tosca parvenait toujours à nous séparer cela ne nous a jamais empêché de nous envoyer plus d'une amabilité à la gueule et, même parfois, de nous foutre copieusement sur la tronche. Certaines amitiés se tissent autour d'une bonne bouteille nous ce fut  à coups de poings, plus original et plus viril au moins ! Ironie mise à part les soldats que nous étions s'entendaient assez pour former un efficace duo mais les hommes, eux, ne commencèrent à s'apprivoiser que quand Roméo se retrouva pris à son propre piège. Draguer la sœur de Neil pour mieux l'atteindre ? Je lui avais dit que c'était une connerie ! Curieusement il ne m'écouta pas et ce qui devait arriva se produisit : il en tomba amoureux. Et si peu de gens semblent comprendre ou cautionner son couple Roméo sait pouvoir trouver en moi la plus compréhensive des écoutes. Parce que je connais bien le problème, hélas... Et que je sais que contrairement à ce que trop de monde pense, se battre pour la femme qu'on aime ne rend pas faible mais bien plus fort. J'obéissais à Roméo, désormais je le respecte infiniment. Et j'ai une confiance totale en sa capacité à nous mener à la victoire. Parce que lui, contrairement à tous les autres, se bat avec son cœur encore plus que ses tripes.Et que cela ne le rend que plus dangereux encore !  Et, maintenant qu'il m'a confié être l'un des Elus, je crois encore plus en nos chances de l'emporter ! Roméo pour moi ? Un général que je servirais jusqu'à la mort s'il le faut, un ami sincère aussi.



Mila Conte




Elle et moi partageons bien des  choses. Un parcours pour le moins chaotique avant que de trouver finalement dans cette Résistance qui nous sauva de nos démons et nous offrit une famille et la meilleure des raisons de nous battre. Une férocité et un acharnement au combat qui nous valut d'être promus lieutenants. Une loyauté sans borne et sans failles à Roméo. Mais dès que les soldats s'effacent pour mieux laisser place aux humains alors la parfaite alchimie explose. Et si je n'ai que le plus grand respect et la plus totale des confiances pour la combattante je conchie allégrement la femme. Et, j'avoue, je ne me gêne jamais pour bien le lui faire sentir. Son côté hédoniste et aguicheuse à deux balles m'ennuie et m'exaspère. Sa liberté et son indépendance aussi bien affichées que revendiquées me feraient même hurler de rire si je ne les trouvais pas aussi pathétiques. Pour moi Mila se ment à elle-même et n'est jamais qu'une pauvre fille qui a remplacé ses drogues par un putain d'excès de semblant de  vie où, au final, elle est bien seule. A moins qu'elle ne soit l'une de ses bécasses qui se languissent encore après Roméo ? Possible vue la manière dont elle laisse tout le monde croire qu'elle est sa maîtresse ! Loyauté envers Roméo dont elle entend protéger le secret ou volonté de nuire à Eden ? Après tout ce n'est pas un secret qu'elle ne semble pas cautionner ce couple ! Et qu'elle cesse  d'afficher sa méfiance envers ma petite Lucy aussi tiens ! En résumé, je peux pas encadrer cette fille. Et si je la surprends encore une fois à soupirer ou rouler des yeux dès que le sujet vient à glisser sur Devon je lui arrache sa langue ! Qu'elle se mêle de ses oignons si elle ne veut pas que j'aille fourrer mon nez dans tous ces secrets qu'elle semble avoir !  



Tosca L. Gotti




Cette femme est la seule à avoir su percer mes lignes de défenses pour parvenir à lire dans la vérité de mon âme. Et aussi exaspérant que cela me soit aujourd'hui encore c'est ce qui me valut, dès notre première rencontre, sa plus grande bienveillance. Pourtant on ne peut pas dire que j'étais beau à voir ce jour là ! Un pauvre con aviné et défoncé jusqu'à la moelle qui cherchait les ennuis espérant finir par y trouver la plus libératrice des morts. Mais Tosca ne me laissa pas sombrer, me soignant et me sevrant contre mon gré. Et quand le moment vint pour moi de choisir ce que je voulais vraiment faire de ma vie ce fut encore elle qui m'épaula et me soutint dans mon désir de rejoindre la Résistance. Sans son aide et son inconditionnel soutien je doute sincèrement que j'y serais parvenu. Mais quand ma petite voyante préférée à une idée en tête c'est inutile de tenter de l'y faire renoncer ! Et mon amie parvint à ses fins, ronronnant quand Roméo finit par faire de moi l'un de ses lieutenants. Entre nous aucune ambiguïté, juste les plus chastes et fraternels des rapports et c'est bien mieux ainsi. Sur le champs de batailles comme à la ville nous formons une étrange mais redoutable équipe. Et elle le sait, je serais toujours là pour elle ! Toujours ! Je lui dois la vie, le fait d'avoir enfin trouvé ma place et, plus encore, l'espoir. Ne m'a-t-elle pas promis, sur son ton prophétique habituel, que je la retrouverais ma sauvageonne de Devon ? Et puis, même sans ça, je suis peut-être encore bien égoïste mais je ne suis pas un ingrat ! Et Tosca je l'adore alors gare à celui qui oserait toucher à un seul de ses cheveux ou dire du mal d'elle !  




Eden Corrigan




Ceux qui les connaissent, Devon et elle, ne pourront que comprendre le trouble qui fut le mien quand je l'aperçus pour la toute première fois. En clair je crois que j'en fus comme foudroyé... et il me fallut plusieurs minutes avant que de réaliser que la fille qui dansait sous mes yeux était la compagne de Roméo et non celle que je me désespérais à l'époque de jamais revoir. Eden lui ressemble tant que c'en est encore plus dérangeant que troublant ! Une ressemblance physique évidente. Une personnalité des plus similaires. Et ce putain de petit truc en plus, indéfinissable, qui les rend tellement différentes de toutes les autres! Si je pensais que lui parler dissiperait mon trouble j'en sortis plus confus encore. Les mêmes... ce sont les mêmes ! Et si Roméo en doutait, s'en moquait même gentiment, lorsqu'il rencontra Devon il cessa de rire. Vraiment. Eden est elle aussi une énigme sur laquelle, depuis le retour des Entités, pèse le plus écrasant des doutes. Nombreux sont ceux à voir en elle une Elue... quand ce n'est pas cette enfant prophétique qui serait née des Entités elles-mêmes. Pas franchement rassurant ! Et, pour commencer à bien connaître la donzelle, je pense qu'Eden est la première à souhaiter que tout cela soit faux ! La femme de Roméo se perd, se force à jouer ce rôle d'infiltrée qui la terrifie autant que la dégoûte. Combien de temps tiendra-t-elle avant que de péter les plombs elle qui, par définition, n'est qu'une boule d'impulsivité ? Pas longtemps, je le crains. Et si Eden sait pouvoir toujours compter sur mon amitié sincère je la sens devenir chaque jour un peu plus sombre. Comme si elle s'éteignait à petit feu... L'aider ? Je ne demanderais pas mieux. La question est : comment ? J'adore cette petite ballerine brisée et, je l'admets, la sauver elle c'est aussi un peu sauver Devon. Ne me demandez pas pourquoi, c'est comme ça et j'en démordrais jamais. Elles ne font qu'une dans mon esprit. Et je ne pense, malheureusement ou pas, ne pas être loin de la vérité.  




Adrien de Habsbourg




Quand j'aime pas, j'aime vraiment pas. Et Adrien, lui, fait partie de ces, si nombreuses, personnes que je détestais dès le premier regard. Sa suffisance froide et méprisante... Sa façon de vous regarder comme si vous n'étiez qu'un insignifiant microbe comparé à lui le ô si grand et ô si parfait soldat ! Ses troupes sont toutes des modèles d'obéissance et d'efficacité ? Pas difficile quand on dirige des putains de machines qui n'ont d'humain que les apparences ! Et maintenant que Monsieur Perfection s'est si minablement laissé rafler et conditionner il la ramènera peut-être moins ? Ce qu'il était m'exaspérait, ce qu'il est devenu aujourd'hui me fout littéralement la gerbe ! Peut-être que  Roméo va enfin ouvrir les yeux et en finir avec ce ridicule complexe d'infériorité que semblait lui refiler son cousin dès qu'ils se croisaient ? Adrien est tombé de son piédestal et j'en suis ravi et, pour tout dire, pas même étonné. Cet homme a fini par rejoindre ces autres soldats aussi impassibles, insensibles et inhumains que lui ? Qui se ressemble finit toujours par s'assembler ! Et s'il me fallait une raison supplémentaire de vouloir lui arracher les couilles pour mieux les lui enfoncer dans le gosier apprendre qu'il part souvent en mission avec Devon serait celle-là... Quand on voit ce qui arrive aux femmes qui ont l'inconscience de l'approcher... Sa femme Gaëlle ? Raflée et esclave. Sa maîtresse la si adorable Lucy ? Raflée, exorcisée et encore plus instable et paumée qu'avant ! Et à sa vieille guenon de nouvelle maîtresse, Roxanne Granger, il réserve quoi ? En tous cas qu'il s'avise seulement de déteindre sur Devon et, je le jure, peu importent les ordres je lui ferais la peau à cet enfoiré de traître !   





Lucy Black




Les gens ne voient jamais en elle que cette gosse paumée, cette petite garce qui n'a rien trouvé de mieux que de se taper son chef, un homme marié et qui plus est son cousin... Oui, aux yeux de bien des gens Lucy semblent cumuler les tares. Et on ne peut pas dire qu'au sein de la Résistance, française comme italienne, nous sommes nombreux à lui accorder notre confiance. Moi, si. Peut-être parce que la gamine paumée, je la comprends, moi ! Ses addictions dont je doute qu'elle se soit réellement défaite, je les connais. Ce besoin viscéral de trouver un sens à sa vie et d'y parvenir en entrant dans la Résistance, ce fut aussi le mien. Et bien que je trouve qu'elle se fout en l'air pour un mec qui n'en vaut pas la peine, je sais que l'amour ne choisit pas. Et puis faut pas déconner : Lucy est bonne sur un champs de batailles ! Pas conventionnelle et pas la plus docile qui soit mais elle obtient des résultats ! Et je suis content que Roméo tente de la convaincre de quitter Paris pour nous rejoindre en Italie. Elle n'a rien à foutre là-bas et auprès de ces gens qui la soupçonnent tous d'avoir volontairement laissé Gaëlle se faire rafler et de se débarrasser ainsi de sa  rivale ! Vrai ou pas, je m'en carre. Moi tout ce que je vois c'est que Lucy est bien seule et que, ici et près de nous, elle ne le serait plus. Et puis entre elle et moi il y a toujours un truc, non ? Comme je suis le seul sur qui elle gueule jamais je pense que oui. Elle m'aime bien et c'est réciproque. Vraiment. Non, il ne s'est jamais rien passé entre nous ! Enfin... presque rien. Et quoique ce soit ça ne regarde personne d'autre que nous !





Neil Corrigan




Hormis ces  foules de décérébrés congénitaux qui voient en lui le Messie et ces ribambelles de pétasses qui soupirent sous son passage en rêvant d'atterrir dans son lit y a-t-il quelqu'un au monde qui puisse sincèrement apprécier ce dément ? En tous cas, et avant même que je ne rejoigne la Résistance, lui et moi avions le plus sérieux des contentieux. Neil est l'un de ces timbrés qui prirent leur pied à me torturer lors de mes si nombreux passages dans les ruches. Et si je dois reconnaître une chose à ce fils de pute c'est qu'il n'a pas volé sa réputation de sadique ! Tout comme Tosca ce fou furieux s'amusa à me brûler à l'acide. Et, tout comme sœur de cœur, je couvris les cicatrices par un énième tatouage. Mais si les plaies peuvent disparaître sous l'encre la douleur et la rancoeur, elles, demeureront à jamais. Et l'envie de vengeance, elle, grandit à chaque jour qui passe. Ce type qui se pavane et se drape dans son statut de Grand Maître de Rome n'est que la pire des pourritures qui soit ! Il retient Eden et le fils de Roméo... déjà rien que cela me fout les nerfs ! Et maintenant il semble vouloir prendre sous son aile Devon ? Là, c'est bon, je fulmine ! Et si personne n'a les couilles d'aller l'affronter moi je le ferais ! Putain mais il en a pas marre de faire suer tout le monde lui ? Je vais le crever ! Je ne sais pas encore quand ni comment mais je trouverais ! Et que personne ne s'avise de vouloir me raisonner parce que, là, je suis pas d'humeur !  






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